“Au départ, je me suis dit c’est pas possible, elles déconnent ces sondes ! (…) Mais Weenat est vite devenu un outil incontournable pour piloter l’irrigation sur mon exploitation.” Découvrez comment Anthony Oboussier, exploitant agricole dans la Drôme, utilise les solutions Weenat pour optimiser l’irrigation de ses vergers.
Au cœur de la Drôme, à Alixan, Anthony Oboussier cultive plusieurs hectares de céréales à paille. Mais pas seulement. Aujourd’hui, il nous invite à visiter ses vergers. Là, sur plusieurs hectares de terres cultivées, on trouve des centaines d’arbres fruitiers.
Cerises, abricots, pêches, nectarines, kiwis,… Ici, il y en a pour tous les goûts. Et les branches ploient sous le poids des fruits. Mais tous ces arbres ont un point commun : au pied des rangs, on remarque souvent de petits boîtiers blancs.
Des sondes pour piloter d’irrigation
“J’ai décidé d’installer les sondes Weenat sur mon exploitation pour piloter mon irrigation le plus précisément possible”, explique Anthony Oboussier. “Les tensiomètres marchent par paire. Le premier va jusqu’à 30 cm de profondeur, le second jusqu’à 60 cm”.
L’exploitant a positionné ses capteurs directement au pied des arbres, au plus proche du système racinaire. Ainsi, ces derniers peuvent mesurer la tensiométrie, c’est-à-dire la force dont les racines ont besoin pour extraire l’eau du sol.
Les données des sondes sont disponibles en temps réel sur l’application Weenat. “Je peux visualiser les courbes de tensiométrie sur mon téléphone et directement connaître l’état hydrique de mon sol”, poursuit Anthony Oboussier.
Mais ce n’est pas tout. “J’ai aussi des alertes qui me permettent de déclencher l’irrigation si vraiment il y en a besoin. Et en plus de ça, j’ai la station météo qui me permet de connaître les pluviométries en millimètres”, complète l’agriculteur.
Des économies d’eau et de temps
Pour Anthony Oboussier, les sondes tensiométriques Weenat représentent avant tout un gain de temps au quotidien. “Plutôt que de me déplacer, je n’ai qu’à sortir mon téléphone, et à regarder l’application Weenat. Je peux ainsi visualiser l’intégralité de mon exploitation en un instant”, se réjouit l’exploitant.
Par ailleurs, dans une région très affectée par les derniers épisodes de sécheresse, Anthony Oboussier considère les sondes comme une sécurité supplémentaire face au risque de stress hydrique.
“On est face à un dérèglement climatique avec des printemps et des étés de plus en plus chauds et de plus en plus secs”, explique l’agriculteur, qui s’efforce d’optimiser son irrigation pour préserver ses réserves d’eau autant que possible.
“Les sondes Weenat m’ont permis de faire des économies d’eau et de mieux comprendre les besoins en eau des plantes”, confirme Anthony Oboussier. Pourtant au départ, l’agriculteur a été surpris par les résultats obtenus.
“J’ai vu les courbes et je me suis dit c’est pas possible, elles déconnent ces sondes ! Parce qu’en réalité les besoins en eau des arbres étaient beaucoup plus espacés et moins importants que ce que j’imaginais”.
Depuis, Anthony a pu ajuster ses apports pour s’adapter avec précision aux besoins en eau des cultures. Sa facture d’eau et d’énergie a baissé. Et les rendements sont toujours au rendez-vous.
“Weenat c’est, pour moi, un incontournable dans le pilotage de l’irrigation sur mon exploitation”, résume l’exploitant.