Pour vous, tout commence quand vous plantez votre capteur.
En réalité, c’est avec Laura et Charlotte que tout commence.
Toutes les deux travaillent à l’atelier de production Weenat. Ce sont elles qui fabriquent les capteurs que vous utilisez au quotidien.
Charlotte (à gauche) et Laura (à droite) dans l’atelier de production Weenat
Leur mission ?
Produire des capteurs robustes, qui vous transmettront des mesures fiables et précises. Tout ça en un temps record, pour que vous puissiez vous en servir rapidement et longtemps !
Bienvenue au cœur de vos capteurs, bienvenue à l’atelier Weenat !
Charlotte, Laura, vous travaillez toutes les deux dans l’atelier de production Weenat. Vous pouvez nous en dire plus cet atelier ?
Laura : Ici nous fabriquons les capteurs : station météo, capteur gel, tensiomètre, sonde capacitive, anémomètre, … J’organise ce qu’on appelle des campagnes de production, c’est-à-dire l’ordre de fabrication des capteurs en fonction des besoins : stock et commandes. J’évalue le temps nécessaire à la fabrication, ce qui me permets de planifier la production. Je me charge également de l’approvisionnement des composants.
Charlotte : Laura c’est un peu la gardienne du temps de la production. Pour ma part, je suis opératrice. Je fabrique, je teste et je conditionne les capteurs. Que ce soit une station météo, un capteur gel ou une sonde pour piloter son irrigation, il y a plusieurs étapes dans la fabrication d’un capteur. Il y a une partie montage-assemblage, avec des étapes spécifiques à respecter pour chaque capteur. Une partie programmation des cartes électroniques, puisqu’il s’agit de capteurs connectés. Il faut donc programmer les cartes, puis les activer et tester le capteur. Et enfin il y a l’étape du conditionnement. Ensuite c’est notre logisticien qui prend le relais. Toutes les étapes de fabrication sont importantes pour que le capteur arrive en parfait état chez l’agriculteur.
Si je comprends bien, vous maîtrisez la production des capteurs sur le bout des doigts !
Y a-t-il des difficultés, des défis à relever ?
Laura : Chaque « grosse commande » est un défi. Elles ne s’anticipent pas. Quand il y a une commande importante, il faut donc modifier les plans d’approvisionnement à destination des fournisseurs. À chaque fois il y a donc un risque de rupture des pièces, de retard de fabrication et de livraison. Il faut donc réagir vite, c’est une sacrée gymnastique. C’est aussi ce qui fait qu’on ne s’ennuie pas dans notre job !
Charlotte : Notre autre challenge, c’est évidemment la satisfaction client. Et c’est d’autant plus important que nous ne sommes pas en contact direct avec les utilisateurs des capteurs. Qui dit satisfaction client, dit qualité des produits ! Fournir des capteurs fiables et précis, c’est la base chez Weenat. On utilise des matériaux robustes, pour que les capteurs résistent à toutes les intempéries. Et en cas de besoin ils sont quand même réparables.
Ce qu’on attend de vous c’est donc beaucoup de réactivité et une parfaite maîtrise de la qualité ?
Charlotte : Exactement. On doit être réactives, dans la préparation des commandes, mais aussi concernant les réclamations des clients. On les étudie avec attention. Pour cela, on travaille en étroite collaboration avec le service Support client. Nous sommes capables d’identifier plus rapidement un défaut récurrent et d’y remédier. A l’atelier, nous gérons nos procédures de fabrication, donc s’il faut améliorer le process c’est possible, et même essentiel. On produit des capteurs robustes, parce que leur place est dans les champs, pas en réparation.
Laura : l’amélioration continue prend une place importante dans notre quotidien. On s’efforce de fournir des capteurs d’excellente qualité pour nos clients, mais aussi parce que c’est dans l’ADN de Weenat.
Qu’est-ce qui vous motive le plus dans vos métiers ?
Laura : Pour ma part, c’est quand j’atteins mes objectifs. Que ce soit en nombre de capteurs produits, en temps passé à les fabriquer, … Quand je vois que la production avance, ça me booste. En plus, notre atelier se situe chez notre logisticien, donc on voit concrètement les palettes sortir de l’entrepôt, partir en livraison. On se dit que c’est l’achèvement du processus et c’est ultra satisfaisant. Un peu comme on raye une tâche dans une to do, sauf que là c’est matériel.
Charlotte : Et moi, ce sont les retours positifs de nos clients, notamment après une évolution du processus de fabrication. On croit qu’on ne change pas grand-chose en remplaçant telle ou telle pièce, mais en fait si ! On identifie mieux l’importance de certains composants, comment ils sont installés, et donc l’importance de notre métier, ce que font nos petites mains. Chaque détail compte. Je vois l’impact de mon travail. Et cela donne du sens à ce que je fais.
Pourquoi avoir choisi de travailler chez Weenat ?
Charlotte : je suis petite fille de maraîcher, je connais la difficulté de ces métiers. Alors, en rejoignant Weenat, j’ai un peu l’impression d’apporter ma pierre à l’édifice pour aider ces métiers.
Laura : de mon côté, je suis plutôt engagée en faveur de l’environnement. Au quotidien, je fais un maximum d’efforts, et j’avais envie que les valeurs de l’entreprise dans laquelle je travaille soient alignées avec mes propres valeurs. Avoir un travail qui a du sens, c’est essentiel pour moi. Et au-delà de ça, l’ambiance chez Weenat est top !
Chez Weenat nous sommes régulièrement à la recherche de nouveaux experts pour compléter notre équipe. Alors consultez les offres d’emploi et rejoignez-nous !